Skul : The Hero Slayer possède des pouvoirs particuliers, mais qui ne sont pas vraiment inconnus. On pourrait même le comparer à Kirby en version hardcore.
Mais qui est Skul ?
Le petit squelette démarre son aventure à poil, ou juste en os. Rapidement, on comprend que ses pouvoirs se matérialisent à partir des crânes qu’il ramasse, qu’il achète ou que des PNJ lui offrent. À partir de là, le petit Skul peut attaquer les ennemis selon les pouvoirs qui lui sont conférés : un crâne de soldat pour attaquer à l’épée, un crâne de bête de type loup pour asséner des coups de griffes au corps à corps. Il est plein de ressources et a donc la possibilité de se transformer à l’infini. Ah et il peut aussi revenir à sa forme de base en un seul clic. Il redevient sa carcasse de base et attaque avec son épée en forme d’os. Pratique, non ? Cela lui confère tellement de pouvoirs et de combos pour mettre à mal ses ennemis.
Kirby x Skul
Comment un être aussi adorable que Kirby peut avoir des similitudes avec le violent, mais mignon, petit squelette Skul ? C’est simple, tous les deux font usage de la récupération pour prendre le pouvoir de leurs ennemis. Bon, Kirby, lui, les aspire sans forcément faire usage de la violence, c’est toujours mignon en fin de compte. Tandis que chez Skul, on joue à un autre niveau. Lui, c’est en revêtant les crânes de défunts, qu’il prend ses capacités et inflige des dégâts. Autre ressemblance : les deux peuvent s’affranchir de leur pouvoir et les balancer à la tronche de leur adversaire. Avec cette action, ils regagnent leur corps de base. Et ce n’est pas parce qu’ils n’ont aucun pouvoir dans leur état naturel, qu’ils ne peuvent pas attaquer. Ils sont tout aussi puissants. On peut les considérer comme des espèces de Métamorph, seulement ce dernier à part son attaque Morphing, il ne fait pas grand chose. Lui, il copie, point final.
Comment ça PEGI 18 ?
Skul est-il un Kirby PEGI 18 ? Pour ceux qui ne connaissent pas ce que signifie le sigle PEGI, il s’agit de la classification d’aide aux consommateurs pour savoir à quel public tel ou tel jeu vidéo correspond. On l’entend souvent dans les trailers de jeu avec cette voix profonde. Il existe plusieurs niveaux de classification : 3 - 7 - 12 - 16 - 18, allant du jeu pour enfants à celui réservé pour adultes. Généralement l’évaluation se juge par le message ou le caractère graphique que peut comporter un jeu vidéo. Si une œuvre tend vers la violence, on préfère l’orienter vers le PEGI 16 ou 18, car il s’oriente vers un public mature.
Pour en revenir à Skul, comme Kirby est mignon et que son univers est féerique et enfantin, il vise un public plus jeune. Et vu que Skul est plutôt violent par rapport au petit être rose de Nintendo, on peut déduire qu’il se classifie dans le PEGI 18. Et évidemment, cela en fait donc un Kirby à la sauce PEGI 18 : les mêmes pouvoirs mais avec des responsabilités plus hardcores. Il faut dire choper la tête d’autres squelettes pour infliger des dégâts aux ennemis, ça change de l’aspiration trop choupi made in Kirby.
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