Détections : check. Recrutement : check. Notre super team est prête à écraser les joyeux lurons de Mario Strikers.
Mario et sa bande ont envahi le paysage vidéoludique avec Mario Strikers : Battle League Football. Le tout à coups de tacles bien rugueux et autres frappes orbitales, qui rendent les autres jeux de foot ringards. Mais on va vite remédier à tout ça à l’aide d’une équipe qui n’est pas là pour enfiler les perles. Il va y avoir du sang.
Gardien de but :
Kabegami (Okami) : On attend souvent d’un gardien qu’il développe des mouvements félins. On décrit les meilleurs d’entre eux comme de véritables chats (checkez sur YouTube si vous voulez comprendre pourquoi). Du coup, on s’est dit qu’on allait carrément mettre les petits plats dans les grands, et sélectionner un chat mais aussi… un dieu comme gardien du temple. Le “God of Wall” comme on l’appelle dans Okami. Aucun doute qu’il saura s’imposer comme un vrai mur.
Défenseurs centraux :
Reinhardt (Overwatch) : Le “Beckenbauer des temps modernes” comme on l’appelle dans le milieu. Sa spécialité ? Dézinguer tout intru qui passe dans sa surface à l’épaule, à l’aide de petites charges en douceur. Ou pas. En plus de son style de jeu parfaitement grâcieux, le bougre a contré absolument toutes les frappes adverses pendant les détections. C’est tout de suite plus facile avec un bouclier de 4 mètres.
Kratos (God of War) : L'ancêtre originel de Nicolas Pallois accompagne Reinhardt au sein de la charnière centrale. Hache à la main devant la surface, Kratos n’a pas eu a disputé un seul duel durant les détections. Les attaquants adverses ont tout simplement pris la fuite en hurlant. Que Toad approche pour voir, on aime la fricassée de champignons.
Latéraux :
La Octane (Rocket League) : Le monde n’en a que pour Mbappé, Benzema, Haaland et consorts, alors que le meilleur buteur de ces 10 dernières années est sans conteste la Octane de Rocket League. Ses lignes parfaites lui garantissent une bonne frappe de balle sous tous les angles, et que dire de son turbo qui lui permettront d'enchaîner les aller-retour le long de la ligne de touche. Le piston parfait.
Samus Aran (Metroid) : Sa mission ? Distribuer de bonnes balles comme elle l’a toujours fait durant sa carrière. On attend d’elle des montées ravageuses, tout en n’oubliant pas l’aspect défensif. Sa forme en boule nous a considérablement rassuré sur ce point, les quelques os brisés au passage en attestent.
Milieu centraux :
Geralt de Riv (The Witcher) : Pour notre double pivot il nous fallait la crème de la crème, des joueurs endurants et prêts à parcourir kilomètres sur kilomètres. Geralt s’est imposé tout naturellement comme le joueur idoine. Inépuisable, doté d’une capacité de récupération physique hors-pair et particulièrement violent : le boucher de Blaviken a tout ce qu’il faut pour performer. Et, avec un tel surnom, on ne pouvait laisser passer notre chance de le signer en tant que numéro 6. Nigel De Jong serait fier.
Aloy (Horizon) : On forme un joli duo de pouilleux avec Aloy. Sa tâche principale est bien de mordre les mollets de tout adversaire dans sa zone. Faut dire que la demoiselle n’a pas toujours profité de banquets 4 étoiles dans son monde, donc les négociations ont été plutôt rapides.
Milieux latéraux :
Octane (Apex Legends) : Pour animer les ailes, notre choix s’est porté sur Octane. Un profil extrêmement vif et percutant qui peut aussi bien prendre les espaces qu’éliminer (littéralement) les défenseurs. On imagine déjà les commentateurs s’embrouiller lors des échanges entre Octane et Octane. Bon, il y a quand même un petit bémol à sa sélection. Au moindre contrôle antidopage, il risque de se retrouver suspendu sur plusieurs générations.
Sonic : Qui de mieux que son pire ennemi pour mettre le coup de grâce à Mario et sa bande (hormis une maintenance du service Nintendo Online) ? C’est pour ce seul argument qu’on a sélectionné ce bon Sonic. Pas du tout pour sa vitesse fulgurante ou son endurance infinie. Reste à voir si la Battle League n’instaurera pas quelques limitations de vitesse à son encontre…
Numéro 10 :
Master Chief (Halo) : Repositionner ses troupes, remonter le moral, montrer l’exemple en appliquant les conseils du coach : le Spartan John-117 possède absolument toutes les qualités requises pour porter le brassard de capitaine. On compte sur lui pour se positionner entre les lignes ennemis (sa spécialité) et distiller de bons ballons dans le dos (ou entre les deux yeux) de la défense.
Buteur :
Chun-Li (Street Fighter) : Des membres inférieurs qui nous feraient dire que Podolski a des jambes de coq. Une souplesse et une agilité hors-normes, Chun-Li a tout le package du numéro 9 du futur. Une demi-douzaine de gardiens sortis sur blessure pendant les détections viennent garnir son CV. Eh oui, grosses cuisses pour gros missiles. Boum-boum n’a qu’à bien se tenir.
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