Comme tous les Battle Royale, Call of Duty : Warzone a son lot de joueurs insupportables. Alors pour faire de toi une personne meilleure, voici les 5 commandements du mode Warzone.
Sur un toit, ta tente tu ne poseras pas
Imaginez un peu, 20 ans d’existence et 20 ans de camping chaque été. Vous pèteriez un plomb, non ? Alors évitez de reproduire ce que nombre d’énergumènes font sur Warzone. Oui, on parle bien de ces enflures qui passent TOUT leur temps en haut d’un building. Équipés d’un starter pack composé d’une lunette thermique, de claymores ou de mines personnelles, ces putois campent les toits à outrance, et n’en descendent que pour en retrouver un autre mieux situé dans la zone. Au final, ils ne jouent quasiment aucun 1 contre 1 et se contentent de jouer au tir au pigeon sur des joueurs qui passent. Donc, messieurs, si vous nous lisez, comportez-vous comme des braves et tuer vos cibles en les regardant droit dans les yeux. Et puis, ce n’est pas fuir le combat qui vous fera progresser.
Abuser des véhicules tu éviteras
Parfois, en fin de partie, lorsqu’il ne reste qu’une dizaine de survivants et que la zone finale se retrouve en plein milieu de la pampa, le mode Warzone ressemble plus à une piste de Trackmania qu’autre chose. Les clips de joueurs se retrouvant encerclés par trois ou quatre véhicules pullulent sur la Twittosphère. Et, généralement, on ne les entend pas chanter l’hymne du bonheur. À tous ces persécutés : vous faites partie des rares à qui on ne dira rien quant à l’utilisation d’un RPG, et on vous conseille même de vous balader avec une petite charge de C4 au cas où. Quant aux oppresseurs, on ne va pas être violent, et juste vous dire que le monde merveilleux du jeux vidéo propose Forza Motorsport, Need for Speed, Gran Turismo et pour les fifous, Rocket League.
Du Capteur Cardiaque tu ne dépendras pas
Pire que les campeurs qui s’imaginent à La Baule depuis leurs toits : ceux qu’on appelle les cafards. Et, à coup sûr, vous en avez sûrement déjà croisé maintes et maintes fois. On parle évidemment de ces déchets qui passent leurs temps cachés accroupis sur une cuvette, capteur cardiaque à la main. Généralement, ils restent parfaitement immobiles, l’œil constamment sur leur engin de malheur, et n’attendent qu’une chose : que vous ouvriez cette maudite porte qui donne sur la pièce dans laquelle ils vous attendent. Dans un énorme sursaut, vous comprenez trop tard ce qu’il vient de se passer. Un individu sans aucune dignité vous a fumé à bout portant d’un coup de RPG ou autre fusil à pompe. Tout ça pour se faire tuer au premier duel qui va suivre en dehors d’un bâtiment. Parce que, oui, généralement ce genre de joueur est très mauvais et n’existe que pour vous pourrir vos parties. Alors, s’il vous plaît, déjà que vous êtes confinés IRL, n’en rajoutez pas une couche sur Call of Duty. Sortez humer l’air, au passage vous progresserez peut-être un peu.
Partager ton argent tu dois
Sur Call of Duty comme dans la vie, l’argent est très important. Et si vous avez fait le choix d’être un énorme crevard dans votre vie de tous les jours, rachetez-vous une conduite manette ou souris en main. Par exemple, si votre pote n’a plus de plaque et que vous avez, genre, 1500 dollars sur vous, donnez-lui. D’une, il vous rendra la pareille, et de deux : vous aurez besoin de lui en entier pour décimer les teams adverses. Pareil pour les largages de ravitaillement. Ce n’est pas parce que vous êtes un gros chanceux équipé de deux armes légendaires que c’est le cas de tout le monde. Alors mettez la main à la poche, et offrez à vos potes le droit de jouer avec leurs armes de prédilection. Surtout maintenant que les largages sont passés à 10 000 dollars.
Si tu joues seul en mode quatuor ou trio, ton équipe tu suivras
Parmi les bizarreries de ce monde, il y a ce type de joueur qui lance des parties tout seul… mais en mode trio ou quatuor. Pourtant un mode solo est bien disponible, mais non, ces joueurs ressentent le besoin de se trouver une équipe ou, peut-être, de se faire des potes. En vrai, c’est bien cool lorsque vous n’êtes que deux à vouloir jouer et que vous n’avez pas de troisième joueur. Mais bien souvent, lorsque vous tombez sur ce type de personnage, c’est tout l’inverse. L’avion à peine arrivé sur la map, le bougre se taille à l’opposé de la zone que vous avez signalé. Au final, il finit seul face à des équipes de 3 ou 4, meurt dans d’atroces souffrances, et vous condamne au même sort, puisque son sacrifice vous place également en infériorité numérique. Dans cette (courte) histoire personne n’est gagnant, ni lui, ni vous, mais ce petit oiseau parti trop tôt n’en a que faire. Alors, vous l’aurez compris, si vous êtes le genre à lancer ce type de partie, ne reproduisez pas ce comportement. Qui sait, peut-être que vous vous ferez des potes. (En vrai, vous éviterez juste quelques messages d’insultes.)