Vous le savez : Iron Man a sauvé l’humanité. Un exploit qui n’aurait pas été possible sans ses célèbres armures. Mais d’ailleurs, quelle était la plus puissante ? Et la plus faible ? On fait le bilan avec une sélection maison.
MARK I : l’originale (IRON MAN)
Imaginez-vous séquestré en Afghanistan par un groupe terroriste, isolé dans une grotte, avec un fragment d’obus enfoncé dans la poitrine et un physicien pour seule compagnie. Et bien dites-vous que c’est dans ces conditions que Tony Stark a mis au point MARK I, la boîte de conserve la plus canon de l’univers. Lance-flammes intégré, grenades lacrymogènes et mini lance-roquettes : c’est tout ce qu’il fallait à notre génie pour sortir de son trou à rats. Et accessoirement sauver sa propre peau.
MARK II : la plus faible (IRON MAN)
Après avoir donné une bonne leçon à ses ravisseurs afghans, Tony a pu rentrer chez lui, à Malibu. De sa base spatiale maison, il conçoit une seconde armure, plus légère, et dotée d’un premier prototype de répulseur. Ce dernier a d’ailleurs donné naissance à l’une des scènes les plus marrantes du premier film, sorti en 2008. Si la MARK II est l’armure la plus faible, c’est tout simplement parce qu’elle n’est équipée d’aucun armement. Sa seule possibilité étant de voler, elle est tout juste bonne pour aller faire les courses. Et encore.
MARK III : la première armure qui parle (IRON MAN)
MARK III a été réalisée sur le modèle précédent, mais affiche enfin les couleurs classiques d’Iron Man : le rouge et l’or. C’est également la première armure opérationnelle réalisée par Tony, équipée de missiles en tous genres et des lasers mythiques du héros. C’est avec l’aide de MARK III que l’homme de ferraille parvient d’ailleurs à éclater Iron Monger, l’armure du vilain Obadiah Stane. Pionnière, elle dispose aussi pour la première fois d’une assistance artificielle. Coucou Jarvis !
MARK V : la première armure portable (IRON MAN 2)
Quand Superman dissimule son costume sous ses vêtements, Iron Man trimballe son armure dans une mallette. C’était en tout cas d’actualité à l’époque de MARK V, une armure qui était donc beaucoup plus légère et moins résistante que ses consœurs. Mais au moins, Tony n’avait pas besoin de faire déplacer la NASA pour l’enfiler. Et puis, c’est toujours plus sexy qu’un slip rouge…
MARK VII : le plus abouti des premiers prototypes (Avengers)
La septième armure d’Iron Man, c’est un peu la version all-inclusive. La formule entrée-plat- dessert de la maison Stark. Elle assure même les livraisons à domicile en se déployant à distance afin de se construire autour du corps du porteur. Même si celui-ci tombe du haut d’un gratte-ciel de Manhattan. Dans le premier film Avengers, on aperçoit même Tony déchirer un Leviathan Chitauri de l’intérieur à l’aide de ses lasers dernier cri. Oui, c’est ça, le dessert.
MARK XL « Shotgun » : celle qui est partie trop tôt (IRON MAN 3)
La MARK XL, c’est un peu cette fille qui vous a lâché un smack au collège avant de déménager. Une belle promesse et beaucoup de regrets. Visible dans Iron Man 3, cette quarantième version était en effet la seule à être conçue dans une logique purement offensive. Avec ses fusils à pompe et sa vitesse pouvant atteindre Mach 5, elle était très séduisante sur le papier. Et même dans le film pendant quelques instants. Avant qu’Aldrich Killian ne la découpe à coups de bras en fusion…
MARK XLI « Bones » : la plus polyvalente (IRON MAN 3)
Dans l’univers MCU, la nature modulaire des différentes armures de Tony Stark a été quelque peu minimisée. Et pourtant la MARK XLI, « Bones » de son joli prénom, est entièrement adaptable et permet d’y ajouter n’importe quel arme ou module déjà existant. Une particularité qui lui offre une flexibilité hors norme, que cela soit pour des missions de sauvetage ou pour combattre. Un véritable couteau-suisse.
MARK XLII : la plus serviable (IRON MAN 3)
Vous n’avez jamais eu envie d’envoyer votre clone effectuer le sale boulot pour vous ? Genre pendant un examen ? Et bien c’est ce que permet cette merveille de MARK XLII. Bon d’accord, il faut encore que votre famille ait pris l’habitude de vous voir vous pavaner dans le salon en armure d’Iron Man. Mais passé ce détail, l’armure est faite pour vous. Équipée d’un système neuronal, elle peut être contrôlée à distance, entière ou décomposée. C’est avec ce bijou que Tony feint Pepper de l’accueillir à la maison… alors qu’il était dans son atelier comme un gros geek.
MARK XLIV/HULKBUSTER : la plus solide (AVENGERS : L'ÈRE d'ULTRON)
Un Hulk qui s’est levé du pied gauche dans votre quartier peut vite devenir dérangeant. Une situation à laquelle Tony Stark a pensé en concevant le célèbre Hulkbuster, une armure que l’on découvre dans Avengers : L’Ère d’Ultron. Ce monstre de technologie est stocké en orbite, sur un satellite Stark nommé Veronica, afin de pouvoir être déployée n’importe où Hulk craquerait son slip. Dans le film en question, on peut d’ailleurs profiter d’une jolie baston entre les deux personnages. L’armure prend extrêmement cher, et on ne la revoit que dans Avengers : Infinity War, avec un certain Bruce Banner aux commandes. Il fait moins le malin, le gros machin vert.
MARK LI : le modèle final, la plus puissante (AVENGERS : ENDGAME)
Cette armure a été créée au cours des cinq années qui ont suivi l'attaque de Thanos. C’est l’ultime production de Tony Stark, son dernier bijou. Une armure capable d’assimiler les six Pierres d’Infinité pour le résultat que l’on connait. Rien que cet élément suffit à comprendre ce qu’elle a sous le capot. Avant cela, elle était capable de résister aux coups du Titan, et son arsenal est le plus développé de toutes les productions signées Stark. Sinon, c’est également à l’aide de celle-ci qu’il enregistre son message à titre posthume pour Pepper et Morgan, sa fille. La dernière œuvre du plus grand génie de l’histoire terrestre. Et accessoirement le sauveur de l’humanité.