À l'occasion de la sortie de Kraven The Hunter ce 18 décembre au cinéma, la chasse aux cadeaux est ouverte ! (À la fin de la page ;))
Et pour le dernier blockbuster de l’année 2024, on a la chance d’avoir droit à un focus sur les origines de l’un des super vilains les plus stylés de l’univers Marvel. Si tu n’as aucune idée de qui est Kraven The Hunter, pas d’inquiétude, on est là pour ça.
En un peu plus de 20 ans, on a eu droit à plusieurs spin-offs de la franchise Spider-Man™, et pas une fois, on n’a pu voir Kraven. Pourtant, on est bien ici sur l’un des meilleurs antagonistes de l’Homme Araignée. Heureusement, avec l’arrivée du film dédié à Sergei Kravinoff aka Kraven sur les écrans, cette terrible injustice va prendre fin.
N.B : On parle ici de Kraven version cinéma, il y a donc quelques différences avec son histoire dans les comics.
Les origines
Tu l’auras sans doute deviné étant donné son petit nom, mais notre “héros” nous vient de la mère patrie, la Russie. Fils d’aristocrates obligés de déménager après la révolution bolchévique de 1917, ils se rendent en Angleterre. Mais tout ça, ce sont des détails, l’important est ailleurs. Sergei est le fils de Nikolai Kravinoff (incarné par Russell Crowe), le chef d’une entreprise criminelle qui semble assez florissante, et le demi-frère de Dimitri Smerdyakov. Élevé à la dure par un papounet passionné de chasse et de force, le jeune Kravinoff va finir par décevoir son paternel en hésitant à tirer sur un lion au cours d’une partie de chasse (un dimanche comme un autre somme toute).
Russell Crowe, dans le Colisée, sur les sept mers ou à Asgard, il en a vu d’autres. Alors quand son fils reste au sol après s’être fait mâchouiller par un félin de la taille d’une Fiat Multipla, tout ce qu’il trouve à dire, c’est : “Laissez-le, il est faible, comme sa mère.” Une maman qui est au passage décédée dans un asile, elle qui avait pour habitude d’être torturée par des hallucinations représentant des centaines d’araignées (clin d’œil clin d’œil)… Pour l’ambiance familiale et les moments père-fils, on repassera. Laissé pour mort donc, notre jeune protagoniste s’en tire tout de même. Coup de pot, une goutte de sang du cousin de Simba tombe dans l’une de ses plaies, et lui transmet les capacités de l’animal. Quelques années plus tard, on le retrouve donc, et dire que le petiot a bien grandi est un sacré euphémisme !
Le prince du safari (pas le moteur de recherche)
Un tantinet courroucé par le comportement de son père au cours de ses jeunes années, une fois adulte, il dédie ses journées à la traque d’êtres humains peu recommandables. Pour l’aider dans sa mission Keanu Reevesienne, il peut compter sur sa connexion avec les animaux. Et non, on n’est pas sur un crossover douteux entre La Famille Delajungle et Léon, mais sur des combats bien énervés (le film est classé R, les mineurs doivent donc être accompagnés) et des scènes d’action de haut vol avec un Kraven athlétique au possible.
Pour ce qui est de l’histoire, si l’on s’en tient à la version originale du vilain dans le comics, lassé d’avoir chassé toutes les espèces animales, il finit par tenter de s’occuper de l’Homme-Araignée, histoire de prouver au monde qu’il est le plus grand chasseur que la Terre ait porté.
Dans le film en revanche, on est sur un sympathique safari humain et une longue liste de personnes à barrer un par un (en les envoyant faire la sieste). Kraven va donc voyager pour tenter de prendre une revanche bien méritée, et montrer à papa qu’il est le meilleur chasseur de la mif.
Est-ce qu’on verra Spidey passer une tête dans le film ?
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