13 septembre, l'adaptation du célèbre jeu vidéo est disponible sur Netflix. Faites vos jeux avec nous !
Le monde de Cyberpunk 2077 s'agrandit avec un animé qui prend place dans l'univers du jeu. Il ne s'agit pas d'une adaptation directe de l'histoire mais d'un stand alone centré sur une intrigue indépendante où l'on suit David, gosse de la rue devenu mercenaire hors-la-loi. Que les amateurs se rassurent, vu l'allure des trailers (surtout le NSFW), la série signée Studio Trigger n'a pas l'air d'avoir voulu amoindrir quoi que ce soit par rapport au jeu. En conséquence, on a essayé de deviner les aspects les plus extrêmes que l'on pourrait trouver dans l'animé.
Gore
Commençons par la base : à Night City, ça saigne énormément. Les meurtres sont graphiques, des membres sont arrachées, des têtes sont explosées et il est évident que Edgerunners ne s'en privera pas le moins du monde. En fait, l'animé va plutôt surenchérir là-dessus.
Corps monstrueux
Dans le monde dystopique de Cyberpunk 2077, les humains ont la possibilité de transformer leur corps grâce à la technologie, pour acquérir de nouvelles aptitudes. Sauf qu'évidemment, pour le joueur et désormais pour le spectateur, c'est l'effet contre-nature qui saute aux yeux avant tout. Des bouts de métal qui sortent à des endroits incongrus, des yeux qui n'en sont plus, et on en passe.
D'autant que le jeu permet aux joueurs d'élaborer le physique de leur avatar comme ils veulent. Fatalement, certains s'en sont donnés à cœur joie : organes génitaux apparents, couleurs criardes, tête improbable, ça y va. Sans aller jusqu'à un perso avec un pénis sur la tête, on peut imaginer que les dessinateurs Edgerunners ont pu eux aussi prendre quelques libertés.
Sexe débridé et drogues
Pour le coup on ne prend pas trop de risques. En plus d'être présent dans le jeu, on voit dès le premier teaser des extraits de scènes érotiques et même une éjaculation. Fans d'orgies, vous êtes ici chez vous. Tout comme le sexe, les drogues et leurs excès font partie du quotidien des rues de Night City et il n'y a aucune raison que Edgerunners mette cet aspect de côté.
Se battre (et tuer) à coups de sextoys
Alors ok, ça peut sembler ridicule dit comme ça, mais c'est bel et bien présent dans le jeu. Si le héros de Cyberpunk Edgerunners se trouve à court d'armes et de munitions traditionnelles, il sera bien content d'en finir avec son adversaire grâce à un godemiché géant.
Torture
Là encore, les trailers l'ont confirmé à leur façon, et c'est assez logique. Rappelons que dans le jeu il existe une mission où un homme finit littéralement crucifié. Certains antagonistes de l'animé n'ont pas spécialement l'air contre ce genre de joyeuses pratiques pour punir et/ou faire parler leurs victimes. Autre paramètre à prendre en compte : si une opération de modification du corps est effectuée par un bricoleur dégueulasse sans anesthésie, peu importe le résultat, ça s'apparente à de la torture en bonne et due forme.
Contrôler le corps d'un autre et lui faire faire n'importe quoi
Un grand classique. Sur le mode léger, quelqu'un peut profiter du corps d'un autre pour faire la fête plus que de raison, avoir des rapports sexuels sans limite, se droguer, etc. Mais il peut aussi, par pur sadisme, forcer quelqu'un à se battre, se mutiler ou se suicider par exemple. Chacun son truc.
Immoralité
Cela englobe tout ce qu'il y a plus haut mais il faut rappeler le principal : il n'y a pas de réel héros ou héroïne dans cet univers. Pas au sens noble du terme en tout cas. Les joueurs étaient amenés à prendre des décisions horribles pendant leurs parties et pouvaient commettre toutes sortes d'exactions, il est possible de s'en prendre aux plus faibles ou encore de finir le jeu en se suicidant, ça donne le ton. Vu le pitch de l'animé « un enfant des rues doit survivre », pas de doute sur le côté anti-héroïque que l'on retrouvera dans Edgerunners.