Avec la sortie de Suicide Squad: Kill The Justice League, les joueurs peuvent découvrir des personnages qu’ils ont moins l’habitude de voir au premier plan. Oui, on parle de vous Captain Boomerang et King Shark, il est donc temps de passer aux présentations.
Captain Boomerang
Tu l’auras deviné, le boomerang, ça vient du pays des kangourous, et donc forcément, le petit George Harkness est australien. Il est le fils (illégitime) d’un fabricant de jouets américain. Il a grandi dans la pauvreté, à Korumburra, avant d’être engagé pour faire la promotion de joujous grâce à ses talents un boomerang à la main (oui, si tu es allergique au mot boomerang, tu vas douiller). On apprendra plus tard que l’homme qui l’a recruté n’est autre que son père biologique. Et comme, chose très étonnante, les gens n’étaient pas particulièrement fans de son numéro, Harkness a décidé d’utiliser sa dextérité pour se lancer dans le monde du crime. Durant ses spectacles, le monsieur volait purement et simplement le public à l’aide de ses boomerangs. Quelques années plus tard, Flash s’est rendu compte des agissement du saltimbanque et l’arrêta, c’est ainsi qu’il rejoint la Suicide Squad.
Dans le jeu, Captain Boomerang utilise (surprise) ses boomerangs pour venir à bout des ennemis, mais il peut aussi équiper des fusils de sniper, des pistolets-mitrailleurs et des fusils à pompes. Grâce à son gant, il peut également se téléporter sur les boomerangs qu’il envoie devant lui, lui permettant ainsi de parcourir la ville avec facilité et fluidité. En combat, ces capacités font de lui l’un des personnages les plus versatiles et fun à jouer. On fonce dans la mêlée, on envoie 2-3 coups de fusil à pompe, on recule en se téléportant, on recharge, on étudie la situation et ainsi de suite.
King Shark
Contrairement à George Harkness, on n’a pas de doute sur l’identité du père de King Shark, il s’agit tout simplement du Roi de tous les requins, une créature divine. Né à Hawaii, il est apparu pour la première fois dans des comics de Superboy (la prequel de Superman) édités en 1994, lorsque le super-héros s’est rendu en Polynésie. Quand Clark Kent débarque sur l’île, ce n’est pas spécialement pour faire du surf. Il n’empêche qu’il apprend que plusieurs personnes sont portées disparues et il finit donc par s’occuper de King Shark et de son corps mi-homme, mi-requin. Au fil des années et des parutions, le personnage va évoluer, prendre des formes différentes, s’allier avec Alexander Luthor, le Joker ou encore Deadshot. Il possède une peau épaisse, nage très vite, peut se régénérer (oui, même s’il perd un bras) et se sert de sa dentition en forme de collier de surfeur pour croquer ses ennemis.
Dans Suicide Squad: Kill the Justice League, King Shark est le tank de l’équipe, il possède une gigantesque gatling mais peut aussi opter pour des fusils d’assaut ou des fusils à pompe (on te l’avait dit, c’est la finesse). Il se déplace en faisant des sauts énormes et en “flottant” dans les airs. Au corps à corps, il utilise principalement ses poings pour exploser le crâne de ses adversaires. Si tu as envie d’envoyer du lourd, que tu es orc plutôt qu’elfe, massue plutôt que fleuret, c’est le personnage pour toi.
Saches qu’hormis ces deux petites perles de gameplay, on retrouve évidemment Harley Quinn, Deadshot et que de nombreux autres vilains viendront s’ajouter à la liste des personnages jouables au fil des DLCs. Il a notamment été question d’un personnage souvent opposé à Batman et qui a tendance à rire très fort…
Suicide Squad: Kill the Justice League est disponible sur PS5 et Xbox Series X.