Moment nostalgie avant la sortie de NBA 2K21 : on revient sur tous ces petits détails qui te manquent sans le savoir. Une petite liste qui va faire travailler ta mémoire d’ancien sur la série.
La guerre entre les Ballers, les Rough Riders et les Flyers
Vous souvenez-vous de cette douce époque où toutes sessions de Park s’apparentait à une petite guerre ? Celle où, au moment de rejoindre le Park pour la première fois, se posait la question fatidique : Sunset Beach, Old Town ou Rivet City ? Suite à cette engagement, la chasse au sorcière était lancée. Le moindre membre d’une confrérie adverse qui passait dans votre Park était une cible à abattre. Chaque déplacement chez un rival se faisait comme une expédition en territoire hostile. Bon, on regrette quand même le manque d’équilibre dans la répartition des joueurs. Les anciens de Rivet City s’en souviennent, ils n’ont pas beaucoup joué sur leurs terrains tant ils étaient peu nombreux. En même temps, quelle idée de faire ce choix, la vie était tellement plus cool à Sunset Beach...
Les joueurs de 10 mètres de haut en Pro-Am
Si aujourd’hui le Pro-Am est le mode de jeu le plus sérieux et compétitif, sans oublier la NBA 2K League, à ses débuts on peut dire qu’il était moins… cadré. Sur NBA 2K11, par exemple, il n’était pas rare de croiser des joueurs complètement cheatés avec des notes à 99 partout. D’autres, qui en plus de ça, faisaient 3 mètres de haut et pouvaient contrer absolument tous les tirs. Mais ce n’était pas le pire. Certains joueurs allaient même jusqu’à se créer des colosses grands de 10 mètres ! On n’apercevait même pas leurs têtes à l’écran et il passait leur temps à réaliser des contres illégaux. Du coup, on se demande encore qu’elle en était l’utilité. Et dire que tout cela était possible à l’aide d’une simple clé USB...
Les sites de récits
Avant la démocratisation du jeu en ligne, il était difficile de partager sa passion pour la série. NBA 2K était, à l’époque, un jeu de niche trouvable quasi-exclusivement chez des basketteurs. Comme pour tous les jeux dans ce cas, il fallait passer par de sombres forums pour échanger autour de nos parties. Le truc à la mode était alors de sortir la plus belle de ses plumes pour rédiger le récit de son mode Association. De quoi partager des moments conviviaux, et surtout se faire des potes prêts à mater des matchs à 3h du matin. En y repensant, c’était un peu la naissance de la communauté NBA 2K. Notamment avec l’arrivée - un peu plus tard - des premières ligues en ligne. La meilleure étant la French League, cœur sur elle.
Les concours de dunks en extérieur
Si NBA 2K a une montagne de qualités, on peut quand même regretter la pauvreté des concours de dunks. Il y a une douzaine d’années, ces derniers étaient jouables absolument n’importe quand depuis le menu. On pouvait sélectionner tous les participants, et la mécanique de dunk était bien plus lisible, confortable et intuitive. Petit charme supplémentaire : le concours se déroulait en extérieur, et 2K nous laissait la possibilité d’utiliser une multitude d’objets. Barrières, caissons de basse, bancs : tout était à la disposition de notre créativité. Une belle époque, qui, on l’espère, fera un jour son grand retour sur la licence.
Les matchs en ligne en équipe
Les plus anciens se souviendront du grand père du Rec Center et du Pro-Am. On parle ici des “Matchs en équipe en ligne”, qui étaient notamment proposés sur NBA 2K9, à une époque où le MyPlayer n’existait pas. Ici, on se retrouvait plongé dans un match en ligne, avec jusqu’à 9 autres joueurs, dans lequel les équipes étaient les vraies et le choix des joueurs… complètement aléatoire. De quoi tomber sur un bon New Jersey Nets - Minnesota Timberwolves. Puis, sinon ce n’est pas marrant, sur Keyon Dooling ou Sebastian Telfair. Oui, 20 minutes de plaisir.