Tu n’es pas sans le savoir, la mythologie grecque regorge de divinités diverses et variées. Les studios SIE ont jeté leur dévolu sur Kratos, divinité incarnant la force, le pouvoir et la vigueur, mais nous aurions pu avoir un jeu bien différent si d’autres dieux avaient été choisis… Florilège.
God Of Wine : la version alcoolisée
Dionysos, c’est un peu comme ton pote constamment bourré qui pense qu’à faire la fête et aux conquêtes. Avec une petite différence tout de même : ton pote n’est qu’un étudiant fauché, et pas un dieu. Bref, dans God Of Wine, tu interprètes le bon vieux Dionysos et as une mission de la plus haute importance : faire goûter ta meilleure bouteille à Zeus, roi de l’Olympe. Ah oui, il y a juste un petit problème, tu ne te trouves pas du tout en Grèce… Mais dans l’actuel Pakistan (terre de naissance originelle de Dionysos), ce qui n’est pas la porte à côté. Pour te rendre sur le Mont Olympe, tu dois traverser des contrées hostiles. Dieu du vin et des excès, ton personnage est constamment alcoolisé, ce qui rend le maniement assez compliqué (attention à bien garder l’équilibre !). Bon, Diony a quand même quelques atouts dans son sac, comme le pouvoir de jouer de la musique pour divertir tes ennemis ou encore la capacité de les empoisonner avec du (très) mauvais vin (comme de la Villageoise, par exemple).
God Of Water : la version nautique
Dans cette version, tu troques la tunique de Kratos pour celle de Poséidon, le dieu de la mer, des navigateurs et des inondations (entre autres). Ton but ? Récupérer ton trident, volé par un Titan. Au programme, des bastons contre d'énormes poulpes et des balades dans la mer Égée (entièrement modélisée, jusqu’à la moindre algue). Mais aussi… des courses de galères et de drakkars, la possibilité de contrôler des hordes de dauphins à distance pour attaquer tes ennemis et, évidemment, une visite de l’Atlantide. Pas mal comme programme, non ?
God Of Win : la version sportive
Tu y incarnes Niké, la déesse du sport (oui, celle qui a donné son nom à tes baskets préférées). Mais dans cette version, point de bastons, de quêtes et autres énigmes… Non, dans God Of Win, c’est tout pour la gagne. Le principe du jeu est simple : les 14 divinités olympiennes, pour faire passer le temps, ont décidé de lancer un petit championnat de football. Sous les traits de Niké (qui a enfilé son plus beau péplos de manageuse pour l’occasion), tu dois composer ton équipe, gérer tes joueurs et leurs états d'âme, ton budget (les transactions se font en nature) et évidemment, gagner tes matchs. Le graal ? Le prestigieux “Olympico” qu’Athéna, fine stratège, a remis en jeu cette saison après avoir écrasé l’équipe d’Artémis en finale. Mais la saison s’annonce dure, notamment les déplacements, toujours compliqués, sur le terrain volcanique d’Hadès et celui sous-marin de Poséidon.
God Of Warm : la version on fire
Héphaïstos est peut-être l’une des divinités avec le pouvoir le plus stylé : contrôler le feu. Dans cette version très chaude de God Of War, tu incarnes le dieu des forgerons et ta mission est simple : reconquérir ta dulcinée, la déesse Aphrodite. Pour ça, tu devras te battre contre pas mal d’autres divinités bien énervées, notamment des Titans et des demi-dieux. Mais tu pourras compter sur ses bras lance-flammes, sa capacité à faire apparaître des volcans dans le sol (au risque de tuer des villages entiers, mais bon, il faut savoir ce qu’on veut dans la vie) et surtout, sa maîtrise du maniement des armes. Eh oui, Héphaïstos est aussi le dieu des forgerons. Ce qui est plutôt pratique quand il s’agit de se confectionner des armes en métal.
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