L’univers de Mario est rempli de secrets souvent inconnus du grand public. L’occasion de vous révéler toute l’intimité du moustachu dans un abécédaire fait maison. Here We Go !
Apparitions :
Véritable star, Mario fait des featurings dans un nombre incalculable de jeux. Entre Zelda, Metal Gear Solid, Tetris ou encore Punch-Out, l’Italien a été vu ou évoqué partout. Y compris dans Assassin’s Creed II, où Mario Auditore, l’oncle d’Ezio, se présente avec un génial « It’s a- me, Mario ! »
Briques :
Les blocs de briques sont des éléments incontournables de l’univers de Mario. Pourtant, ces sources de pièces et autres bonus ne devraient pas vous donner une telle satisfaction lorsque vous les détruisez : ce sont en fait des habitants du Royaume Champignon, transformés par Bowser. Bande de génocidaires.
Chauve :
En 1983, Mario apparaissait dans une publicité américaine pour les Game & Watch. Petite particularité de ce spot : le petit moustachu était chauve. Un style qui a été vite corrigé. On ne remerciera jamais assez les implants capillaires…
Donkey Kong :
Vous êtes sûrement au courant que Mario a fait sa première apparition en 1981 dans Donkey Kong, un jeu dont le célèbre gorille était la véritable star. Mais savez-vous qu’à l’époque, il était charpentier, et pas plombier ? Bon, en même temps, ça ne change pas grand-chose. On parle toujours d’un emploi fictif.
Excitebike :
Mario Kart n’est pas le seul jeu dans lequel les personnages de la licence se tirent la bourre sur des deux-roues. C’est également le cas dans Excitebike: Bun Bun Mario Battle Stadium, un titre de la Super Famicom Satellaview sorti uniquement au Japon en 1985.
Film :
Comme beaucoup d’œuvres vidéoludiques, Mario a eu droit à son adaptation cinématographique. Résultat : un immense navet du nom de Super Mario Bros., malheureusement sorti en 1993 dans les salles obscures. Mais on n’a rien dit. Faites comme s’il n’existait pas.
Guignols :
Mario et Luigi ont eu droit à leurs propres marionnettes dans nos célèbres Guignols de l’Info. C’est arrivé le 16 mars 2011, quelques jours seulement après la catastrophe nucléaire de Fukushima, et ce micro-sketch a été très mal pris par les Japonais.
Hayashida :
Koichi Hayashida n’est autre que le directeur du level design de Super Mario Galaxy. On le retrouve d’ailleurs dans le jeu, au doublage du boss des Jardins venteux, qui n’est autre que le Roi Mogu. Directeur et roi ? Oui, Hayashida est un homme de pouvoir.
« It’s on like Donkey Kong » :
« It’s on like Donkey Kong » est une marque déposée par Nintendo mais imaginée par un rappeur. C’est en effet Ice Cube qui a lâché cette punchline sur son titre « Now I gotta Wet'cha », présent sur son album Predator sorti en 1992. Nintendo inspiré par la West Coast, qui l’eût cru.
Jumeaux :
Pour celles et ceux qui se demandent encore quelle est la nature de la relation entre Mario et Luigi, sachez que nos deux beaux gosses sont jumeaux. Une information que l’on apprend à la fin de Yoshi’s Island sur Super NES. Le titre nous renseigne également sur le lieu de naissance des deux personnages : le Royaume des Champignons. Bien loin de l’Italie, quoi.
King Koopa :
King Koopa, ce nom ne vous dit peut-être rien, mais c’est en fait le premier nom attribué à Bowser dans Super Mario Bros. Mais Bowser n’en reste pas moins le Roi des Koopas, ces petites tortues qui peuplent l’univers de Mario.
Luigi :
Sachez-le : Luigi est une victime de son époque. S’il ressemble à son jumeau, c’est tout simplement parce qu’au moment de sa création, les contraintes techniques ne permettaient pas de créer de personnage supplémentaire. Il était seulement possible d’en cloner un et d’en changer les couleurs. D’ailleurs, en japonais, son nom est « Ruiji », qui signifie « similaire ».
Martinet :
Charles Martinet n’est autre que le doubleur officiel de Mario, et ce depuis 1995. D’ailleurs l’Américain ne se contente pas de doubler le plombier, puisqu’il s’occupe aussi de Luigi, Wario, Waluigi, Bébé Mario, Bébé Luigi et Papy Champi. Rien que ça.
Nuages & Buissons :
Dans Super Mario Bros., les nuages et les buissons que vous pouvez trouver dès le premier niveau sont identiques. Leurs couleurs changent, mais les gabarits utilisés sont strictement les mêmes.
Ossan :
Au début de son développement, Mario s’appelait Ossan, qui signifie « homme d’âge moyen » en japonais. Il s’est ensuite appelé « Jumpman », avant d’écoper du nom de Mario en hommage à Mario Segale, un promoteur immobilier qui avait loué un studio à Nintendo.
Popeye :
Et si on vous disait que Mario n’aurait jamais dû voir le jour ? À l’origine, Donkey Kong devait se dérouler dans l’univers de… Popeye. Un projet que Shigeru Miyamoto a dû abandonner lorsque Nintendo a perdu les droits de la série. Donc oui, Mario est un bouche-trou.
Queer :
Mario et ses acolytes seraient-ils queer ? C’est ce qu’affirment de nombreux fans. La youtubeuse Riley J. Dennis en a d’ailleurs fait plusieurs vidéos, et pour certains, la Princesse Peach est carrément une icône LGBT. Le site autostraddle.com s’est même amusé à réaliser un classement des personnages les plus queer.
Rêve :
Super Mario Bros. 2 ne suit en rien son prédécesseur et il y a une bonne raison à cela : ce deuxième opus vous plonge en fait dans un rêve de Mario. Ce qui explique la nouvelle tronche des méchants. Le titre est d’ailleurs une adaptation du jeu Yume Kōjō : Doki Doki Panic. Yume Kōjō signifie « usine à rêves » dans la langue de Molière.
Shigeru Miyamoto :
Le papa du plombier est un génie. Dernière preuve en date : l’actuel directeur créatif de Nintendo est devenu la première personne à intégrer le Hall of Fame de l'Academy of Interactive Arts and Sciences américaine. Classe.
Théâtre :
Super Mario Bros. 3, qui débute sur une ouverture de rideau, n’est qu’une pièce de théâtre dans laquelle Mario n’est jamais véritablement en danger. C’est Miyamoto qui a confirmé lui-même la validité de cette vieille fan theory dans une petite vidéo publiée sur le compte Twitter de Nintendo UK en 2015.
Ukikis :
Vous vous souvenez des peluches du singe Kiki ? Et bien sachez que l’univers de Mario possède sa propre version : les Ukikis. Soit des petits primates qui passent leur temps à lancer des bananes dans Super Mario 64.
Vendredi 13 :
Le premier Super Mario Bros. est arrivé sur NES en 1985, et plus précisément un vendredi 13 septembre. Ce qui n’a pas empêché le jeu de se vendre à plus de 40 millions d’exemplaires partout dans le monde. Prends ça, la malédiction.
Wario & Waluigi :
Ces deux personnages sont les doubles maléfiques de Mario et Luigi. Le nom de Wario est d’ailleurs un jeu de mot japonais, « Warui » signifiant « méchant » dans la langue nippone. Et s’ils ont beaucoup de points communs, il existe une grande différence entre les deux couples : Wario et Waluigi ne sont pas frères.
Xhampi :
Les extraterrestres existent. Du moins dans l’univers de Mario. Les Xhampi, présents dans Mario & Luigi : Les Frères du Temps, sont là pour en témoigner. D’ailleurs, vous pouvez également retrouver ces petits champignons violets dans Mario & Luigi : Voyage au centre de Bowser, congelés dans le château de Bowser.
Yoshi :
Personnage incontournable de la licence, le dinosaure est apparu pour la première fois sur Super Mario World. Et dans la version japonaise de ce titre, Yoshi mangeait des dauphins. Un détail qui a été retiré des versions européennes, la pêche de ces animaux étant (très) mal vue sur le vieux continent.
Zelda :
Autre franchise phare de Nintendo, Zelda a eu une légère influence musicale sur le monde de Mario, et vice versa. En effet, l’un des morceaux de Zelda Ocarina of Time est tiré directement de Super Mario World 2 Yoshi’s Island, tandis que la flûte de Super Mario Bros. 3 vient tout droit du premier Zelda.