À moins d’avoir vécu dans une grotte depuis 2003, tu connais forcément la série Call of Duty. Mais, imagine que les développeurs d’Activision-Blizzard aient, au dernier moment, changé le mot “duty” par un autre ? Ils ne l'ont évidemment pas fait, mais on a décidé d'imaginer les jeux que cela aurait donné.
Parce qu’il n’y a pas que le devoir dans la vie.
Call of Dewey : à la recherche du petit frère de Malcolm
C’est une vraie question : que devient Dewey, ou plutôt Erik Per Sullivan, l’acteur qui jouait le quatrième enfant de Lois et Al dans la mythique série Malcolm ? Personne n’en sait trop rien et les nouvelles se font (extrêmement) rares. À tel point que, ces dernières années, plusieurs fake news l’ont annoncé mort . Bref, dans Call of Dewey, ton but sera simple : retrouver la trace de l’acteur en résolvant des énigmes, en interrogeant des suspects et en effectuant des QTE comme ceux que l’on trouve dans Heavy Rain ou Until Dawn. Dans le jeu, tu croiseras bien évidemment une panoplie de personnages bien connus comme Malcolm himself ou bien Reese. Ces derniers sont des suspects potentiels qu’il faudra interroger… Sans rigoler.
Call of Delivery : un “Crazy Taxi” version livreur de colis
“Votre livreur est en approche”, “Votre colis a bien été livré”, “Votre colis a été déposé au point relais le plus proche” (qui est en fait à 10 km de chez toi)... Si tu as déjà commandé en ligne, tu dois forcément connaître toutes ces expressions. Eh bien, dans “Call of Delivery”, elles prendront encore plus de sens car tu incarneras un coursier sommé d’apporter, dans un temps imparti, plusieurs colis à bon port. À la manière du cultissime “Crazy Taxi”, la seule manière de regagner de précieuses secondes est de livrer le carton à temps, sous peine de voir le client vraiment mécontent. Au début de chaque partie, tu as le choix entre différents types de véhicules : vélo tout simple, trottinette électrique, vélo cargo ou encore patins à roulettes… Tous ont un gameplay très différent, ce qui rend l’expérience encore plus intéressante.
Call of Derby : un jeu de foot où les joueurs ne portent que des chaussures de ville
Tous les écoliers du Royaume-Uni te le diront : jouer au foot dans la cour de récré avec des derbies (les chaussures en cuir obligatoires avec l’uniforme), c’était toute une histoire. Avec leurs semelles bien plates et leur bout arrondi, elles étaient parfaites pour mettre des pointus de l’espace. Bon, pour la précision, on repassera. Bref, c’est l’atout principal de “Call of Derby”, une sorte de FIFA Street mais dans la cour d’école. Ici, les équipes sont composées d’écoliers et de collégiens, le terrain est plus petit (les dimensions d’un terrain de hand), les poteaux faits de blousons posés au sol, le ballon est parfois en mousse et les transferts se font entre classes (et se négocient en kebabs). Et niveau gameplay, tous les joueurs portent des chaussures derbies, ce qui rend les tirs, les contrôles et les passes vraiment difficiles. La visée est complètement aléatoire et le cassage de vitres enlève directement un point à ton équipe. Eh, mais on tiendrait pas un truc de fou, là ?
Call of Dobby : mieux qu’Hogwarts Legacy
Dobby, c’est le petit elfe de maison au service des Malefoy, qui devient l’ami d’Harry Potter au cours de son aventure pour vaincre le Seigneur des Ténèbres. Le moment clé de la vie de Dobby intervient lorsqu’il reçoit par inadvertance, de la part de son ancien maître Lucius Malefoy, une chaussette. Cet acte lui confère enfin sa liberté (car pour qu’un maître libère son elfe - réduit en escalvage, on le rappelle - il doit lui offrir un vêtement). Problème, dans notre jeu Call of Dobby, l’elfe a perdu son précieux sésame !!! Ton job est donc de lui en confectionner une nouvelle. Le système de jeu est simple : tu dois, avec tes sticks, maîtriser les aiguilles à tricoter et lui coudre une nouvelle paire dans un temps imparti, le tout avec les Malefoy qui t’envoient des sorts. C’est chaud, mais qu’est-ce qu’on ne ferait pas pour Dobby et ses oreilles pointues ?
Call of Daddy : un gta-like dans lequel Puff doit arriver au sommet (des charts)
Puff (ou “Diddy”, plus récemment) est l’un des rappeurs les plus influents de la fin des 1990’s et du début des années 2000. Entre le natif d’Harlem et les jeux vidéo, c’est une longue histoire d’amour : il est crédité à la BO de pas moins de 11 titres (NBA 2K13, Def Jam : Icon, NFL Street 2 entre autres). Pourtant, et c’est bien dommage, il n’est jamais apparu comme personnage à part entière d’un jeu. C’est ce que Call of Daddy vient corriger. Dans ce GTA-like, tu incarnes le jeune Sean Combs (son vrai nom) et tu essayes de te faire une place au sommet du hip-hop américain et new yorkais. Au programme : les grandes étapes de la vie de Sean, à commencer par la mort par balles de son père dans sa voiture à Central Park. Tu pourras, bien-évidemment, te balader dans tout New York, piquer des bagnoles, descendre tes rivaux, faire des battles de rap, dater Jennifer Lopez et tenter d’empêcher la mort de Notorious BIG (ou orchestrer celle de Tupac ?).
DISCLAIMER : Puff Daddy est bien évidemment un gars bien, hein. Là, on est sur un jeu complètement inventé.
Call Of Duty : Modern Warfare 3 est disponible depuis le 10 novembre sur PlayStation 5, PlayStation 4, Xbox One, Xbox Series et PC.